
Ghislaine, Claude, je ne vous connaissais pas. Pourtant, aujourd'hui, pour avoir exercé votre métier de journalistes consciencieusement, vous n'êtes plus là. Vous ne lirez jamais ces quelques lignes et je le regrette. Je regrette surtout de n'avoir pu vous dire de votre vivant, qu'ici en France, si nous sommes libres, c'est parce que vous nous expliquiez le monde tel qu'il est. Vous aviez la sagesse de donner la parole à ceux qui ne l'ont pas et qui sont opprimés ici-bas.
Déjà, je salue votre courage. Votre courage...
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